Plaine verdoyante

Une vaste plaine couverte d'herbe. terrain parfaitpour les combat apocalyptique entre chef

Il faisait frais, l’après midi ne faisait que commencer et un vent léger parcourrait la grande plaine verdoyante. Aucuns nuages a l’horizon, hors mis quelques stratus qui s’éclipsaient au loin. Tatsumaki s’était posé le long d’un très grand roché pour faire une petite sieste. Il fallait reconnaitre que depuis qu’il était passé capitaine, les moments de repos se comptaient sur les doigts d’une mains, alors un après midi entiers sans que l’on s’aperçoive de son absence, il ne risquait rien. Rien hors mis que quelqu’un vienne le déranger, auquel cas ce malotru se verrait infligé une correction par le jeune capitaine en personne. S’il avait été nominé capitaine au vu de son assez jeune âge, ce n’était pas pour rien, il avait les capacités de combat d’un capitaine, donc il pouvait bien affronter quasiment n’importe qui.

Il se posa dans l’herbe, allongé les bras croisé derrière la tête. Il releva son écharpe jusqu’au niveau de ses yeux pour qu’il puisse dormir une petite heure ou deux bien tranquillement. Il savait pertinemment que le Commandant de la première division n’allait pas apprécier son escapade de la journée, mais ça a la limite ça lui passait au dessus. Il masqua le maximum de son reiatsu pour que personne ne l’interrompe, bien qu’a vrai dire il comptait rentrer dans les deux petites heures qui suivent. Un brin d’herbe entre les dents, il poussa un bon petit soupire avec son flegme légendaire, et entama sa sieste.


désolé post court mais j'attend la réponse d'Arameos pour pouvoir produire un texte un peut plus long

Araméos était en repos. Depuis quelque temps c'était le branle-bas de combat partout dans les villes. Accroire que quelque chose d'important se tramait. Le garde royal n'aimait pas vraiment l'agitation des grande cérémonie et autre événements festive ou non. Et depuis qu'il avait ses nouvelles responsabilités, il ne pouvait plus voyager comme avant. C'est pour cela qu'il profiterait de ce jours pour aller voir d'autres horizons. Les plaines verdoyantes l'appelait. Et pourquoi ne pas lui répondre?

Le Garde fit son paquetage la veille, mais il hésita longtemps à emmener son arme, Elémender. Cette épée lui avait sauvé la vie de nombreuse fois. Et puis un petit combat ne lui ferais pas de mal. Il se sentait un peu rouillé depuis le temps. Les dernier combat remontait au tournois. Houla !le temps passait vite.

Ce matin là, Araméos s'éveilla tôt et partit tranquillement pour les plaines. Il arriva en fin de matinée. Rien avait changé dans ce lieu de rêve qui emplissait toujours le guerrier d'une certaine paix intérieur. Il emplit ses poumons de cette air si pure et se restaura. Par habitude, il sonda les alentour pour voir s'il ne captait pas un reatsu. Ce fut là qu'il capta un petit quelques chose pas trop loin de lui. Un inconscient qui devait chercher les ennuis car vu la faiblesse de l'énergie...à moins que celui-ci cache sont reatsu.

Le garde fini sont repas, s'étira. Il fit quelques échauffements mit son épée à sa ceinture, cacha son paquetage dans un recoin rocheux et partit à la recherche de l'imprudent. Car il fallait vraiment être imprudent pour se balader seul dans ses coins. Enfin bon...

Araméos n'eus pas loin à faire pour tomber sur le jeune gars qui cachait son reatsu. Si Le garde se souvenait bien, c'était un jeune nouvellement nommé Capitaine. Il était serte assez puissant pour son âge mais il avait nommé bien vite quand même. Si le garde secouait un peu se nouveau capitaine qui avait vite fait de se reposé quand on avait besoin de lui.

Araméos arriva en douce et cria:

« CAPITAINE TATSUMAKI, CE N'AI PAS LE MOMENT DE DORMIR ! SI VOUS NE VOUS LEVER PAS TOUT DE SUITE VOUS IREZ EN COURS MARTIAL! »

Le garde était content de son coups après tout il était le supérieur du jeune homme.

Araméos vit le jeune se réveiller en sursaut mais au lieu de se mettre au garde à vous comme tous ceux qui le croisait, dut à son grade, le capitaine ne fit pas cas de la hiérarchie. Le Garde n'en revenait pas, quel affront, bon il est vrai qu'il était lui aussi jeune et qu'il n'était garde que depuis quelque temps mais là c'était le pompon. Un capitaine qui le traitait comme un subalterne devait recevoir une sacré correction.

Mais Araméos n'était pas au bout de ses surprises, le jeune homme s'adressa avec tellement de dédain que le garde sentit sa colère monté. Celle qui l'accompagnait à chacun de ses combats à mort. Le garde libéra tout son reatsu et se leva de toute sa hauteur. IL prit son Zampakuto et le planta dans le sol. LA lame rougeoyait déjà tellement la colère du Garde Royal était grande.

« C'est la première fois qu'un Capitaine manque autant de respect à un garde royal, un de ses supérieure. N'aurais tu pas apprit le respect de la hiérarchie? Si ce n'ai pas le cas je vais te l'apprendre! »

Sur ses mots, Araméos arracha son arme du sol et fit un shunpo pour se retrouvé sur le côté gauche du jeune soldat. Il lui envoya un violant coup de pied dans les jambes mais sans attendre de voir si le Capitaine avait réagit , Araméos enchaîna avec un shunpo pour se placé face au capitaine et lui donna un coup de poing dans la poitrine. Quoi que ferait le jeune gars, le garde le contrerait, sa colère légendaire montait peu à peu. Elle lui manquait tant. Il laissa cette force l'envahir. Si le capitaine ne cherchait pas de combat en cet endroit, il était mal tombé car le garde allait lui infliger une correction qui lui laisserait des séquelles cuisantes.

Le Garde savait qu’il n’avait pas à faire à un amateur, la preuve en était, les quelques échange porté par leur lame. Ces quelques échanges eurent le bien fait de chauffer Araméos, mais il devait prendre le dessous sur son adversaire car sinon ce dernier se prendrais pour un chef.
Comment un Capitaine pouvait croire battre un Garde Royal qui en avait vu de toutes les couleurs pour en arrivé là.

Araméos s’ennuyait, il n’avait pas l’habitude des combats mous, alors il se devait d’augmenter le niveau de combat sinon il s’endormirait, de plus sa lame demandait le sang de sont adversaire. Mais le plus urgent était d’esquiver l’attaque spéciale du soldat. Un enchaînement de Shunpo, le sortit de la galère. Puis sans prévenir, Araméos cria :

« Shikaï : Katano ! »

La lame de son Zampakuto devient une flamme aussi noire que la colère montant de son âme. Qu’il aimait cette colère froide, cette fureur qui lui donnait tant de puissance. Mais la rapidité était de mise face à un adversaire comme ce Capitaine. Il ne lui laisserait aucune chance.
IL continua ses Shunpo et murmura :

« Braïochi, Moritaké »

Sa mains gauche s’ampli de flamme, pour formé une boule de feu qui augmentait en puissance au fur et à mesure que le Garde tournait autour de son adversaire. Le Moritaké était un bouclier de feu qui protégeait Araméos de toutes attaques ou contre attaques physique.

Tu ne vas pas apprécier ta correction petit ; pensa le garde.

Et soudain il apparu devant le soldat en feintant un coup d’épée et lu lança en pleine poitrine son Braïochi. Le Garde ne prit pas le temps de voir la réaction de son adversaire et il recommença à tourné autour de celui-ci en préparant une nouvelle attaques encore plus puissante.